ANNA PAVLOVA
Au dehors l’atmosphère du premier jour de l’année, au dedans l’effervescence d’un soir de ballet. À la vigueur certaine, ce thé noir se pare d’une attente délicieuse que sauront assouvir les premières notes de noix de coco. Le parterre se couvre d’une meringue en sucre tandis qu’en avant-scène, les loges s’emplissent d’une framboise délicate. On demande silence au brouhaha des baignoires dont l’émerveillement se fait entendre. C’est au plus près du paradis, que les pétales de rose sont les plus bons élèves. La salle ce soir est aussi comble que comblée.
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